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15 FÉVRIER - FONDATION GABRIEL PÉRI : HISTOIRE DES ARCHIVES DU PARTI COMMUNISTE FRANÇAIS

vendredi 10 février 2012


INVITATION

RENCONTRE

mercredi 15 février à 18 h 30

Archives Nationales

Salon de l’Hôtel de Soubise

60 rue des Francs Bourgeois, Paris 3e
Métro : Rambuteau, Hôtel de ville ou Châtelet

La Fondation Gabriel Péri et les ““Éditions de l’Atelier”” ont le plaisir de vous inviter à la présentation de l’ouvrage de Frédérick Genevée,

« La fin du secret, Histoire des archives du Parti communiste français »

Avec :
Frédérick Genevée,
Claude Pennetier, chercheur au CNRS, directeur du Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier.

Présentation animée par Michel Maso, directeur de la fondation Gabriel Péri.

Prière de vous munir de l’invitation téléchargeble ici.

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RAPPEL

Le tirage au sort et l’assemblée constituante : remèdes à la crise de la démocratie représentative ?

Mercredi 15 février 2012
18h30 à 20h30
Séance du séminaire Mondialisation, territoires et citoyenneté,

avec Etienne Chouard, enseignant en économie et en droit.

Débat animé par Jean-Claude Mairal, président du CIDEFE, élu, administrateur de la fondation Gabriel Péri.

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DERNIÈRES PUBLICATIONS

La révolution de notre temps

Il existe plusieurs explications des changements affectant en profondeur le capitalisme contemporain. Les marxistes ne sont pas en reste dans cette élaboration explicative et ils le font dans la diversité.
L’auteur consacre la première partie de cette note à présenter les plus importantes de ces théories, marxistes ou non. Il montre que l’on y retrouve quasiment toujours les même facteurs, à savoir la science, la connaissance, la formation, l’information, les nouvelles technologies, les services, bien qu’avec des pondérations différentes.
L’originalité de son propos est d’indiquer que l’on ne peut théoriser les facteurs de changement des sociétés et des systèmes dans le monde sans intégrer les principaux pays du monde, développés ou en voie de développement, dans ces explications.

La deuxième partie de sa note est consacrée à l’exposé un peu plus fourni de sa propre explication des phénomènes.
Elle intègre la révolution informationnelle dans une explication plus générale qui est celle de la prédominance aujourd’hui de la production non matérielle sur la production matérielle.
Elle met en lumière en quoi ces changements concernent le travail, un aspect qui échappe à bien des théories, centrées sur l’emploi.
Elle conduit à souligner les évolutions sociologiques qui les accompagnent.
Finalement l’auteur se demande en quoi ces éléments de transformation structurelle stimulent la socialisation des économies, tant au plan intérieur que sur le marché mondial, et favorisent la lutte pour le socialisme.

Jean-Claude Delaunay est professeur honoraire des Universités en sciences économiques. Après avoir étudié les systèmes de Comptabilité sociale, il s’est tourné vers l’observation et l’interprétation des activités de service, dont le développement, perçu à travers la théorie de Marx, lui posait problème. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages et articles sur l’économie des services, qui constitue son thème de recherche principal. Ce faisant, il a été conduit à analyser l’évolution contemporaine du capitalisme financier mondialisé. Il a acquis une expérience internationale en séjournant et en enseignant dans divers pays.

Prix : 4€

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La Pensée N° 368

Dossier Esclavages et sujétions

L’étude de l’esclavage est moins simple qu’il n’y paraît. Si l’on veut comprendre les formes de sujétions et leurs légitimations, il faut les étudier sur la durée, montre Jacques Annequin.
Loin d’un « modèle économique » lié à un contexte économique ou historique, l’esclavage est d’abord une construction sociale nous dira Alessandro Stella.
D’autre part, Olivier Grenouilleau, en le comparant à d’autres modes d’exploitation, met en lumière la nature polymorphe de l’esclavage.
D’autant que, comme le souligne Christiane Rafidinarivo, la distinction d’avec le travail « libre » est, par bien des aspects, plutôt floue.
Selon les âges et les lieux, l’esclavage prend des formes diverses. Alessandro Stanziani étudie le « deuxième servage » en Russie, Fabio Viti révèle la persistance, longtemps après l’abolition en Afrique, des rapports de dépendance personnelle, en partie responsables de l’échec du salariat sur le continent.

Rapports qui s’exportent, comme le montre Roger Botte à propos de l’immigration soninkée, ou se traduisent par une économie informelle analysée par Alain Morice.
Au Brésil, Neide Asterci et Ricardo Rezende Figueira dévoilent différentes formes de travail non libre pour dettes impayées qui subsistent encore aujourd’hui.
Pourtant, d’autres choix que l’esclavage ont pu être retenus. Pour preuve l’exemple de l’Égypte pharaonique exposé par Bernadette Menu.

Prix : 19€

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