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2012 : AVEC LES VŒUX NON CONVENTIONNELS DE SOCIALGERIE

samedi 31 décembre 2011


À TOUS LES VISITEURS DU SITE "SOCIALGERIE"

Aux amis, parents et camarades de lutte, mes vœux non conventionnels et non moins chaleureux.

Y contribueront quelques textes, analyses, messages, vidéos et autres, froidement réalistes et néanmoins stimulants - Bienvenus en des temps féroces difficiles à vivre et à comprendre, mais aussi porteurs de volonté combative et d’espoirs.

Vous salueront ainsi, invités par Socialgerie, le vétéran communiste Saoudi A, le toujours vivant Bertold Brecht, les jeunes indignés de Wall Street, les révolutionnaires de Place at-Tahrir, et en arrière plan, les innombrables acteurs de liberté et justice en cette mémorable année 2011 sur tous les continents.

Sadek Hadjerès


CONTINUER À FAIRE PROGRESSER

L’ HÉGÉMONIE ET L’EXPERTISE SOCIALE DES PEUPLES

DANS LES ESPACES PUBLICS ET GÉOPOLITIQUES

Une nouvelle année va s’ouvrir, dans la fureur et les incertitudes d’un monde marqué par des crises graves et des affrontements majeurs, souvent empreints de confusion.
Les « maîtres » actuels et temporaires du monde voudraient, par la violence militaire, économique, financière et médiatique, communiquer leurs angoisses et leur propre désarroi aux peuples pour continuer à les dominer sans pitié et pour l’éternité .

Il a semblé à « Socialgerie » qu’une des façons de présenter ses vœux pour l’année 2012 était de faire connaître l’analyse objective, offensive et empreinte d’espoir parue dans le blog « Algerie-infos » de Saoudi Abdelaziz.
Le raccourci saisit un enjeu essentiel, à travers le bilan global des dernières décennies et la projection, en cours vers l’avenir, d’un cycle historique qui n’a pas encore dévoilé tous ses ressorts, sauf qu’il récuse les lubies fatalistes et défaitistes.

Ne masquant pas les interrogations et les tragédies passées, mais soulignant les dynamiques sociales souterraines toujours à l’œuvre, le tableau incite, non à l’optimisme béat, mais à amplifier avec lucidité et vigilance les mouvements de masse et les décantations aux racines profondes et prometteuses qui ont déjà marqué 2011.

socialgerie
www.socialgerie.net,
shadjeres.courrier@gmail.com


LA VOLONTÉ PLÉBÉIENNE DE FAIRE TABLE RASE

Jeudi 29 décembre 2011
Les Impressions du jeudi

par Saoudi Abdelaziz

Puisque c’est le dernier jeudi de l’année, le blog doit sacrifier à la coutume des bilans.

L’histoire ne se découpe pas en tranches annuelles ou saisonnières. Les raccourcis faciles abondent dans les chroniques. « Printemps arabe-hiver islamiste » est le plus en vogue.

Les historiens retiendront sans doute un fait majeur : c’est au début de l’année 2011 que les peuples tunisien et égyptien ont pris de court les maîtres du monde, bouleversant les agendas et les timings des stratèges de la domination.

Des parades ont été conçues à la hâte et mises en œuvre presque au débotté. Le déclenchement des processus de militarisation de la révolte en Libye et en Syrie sont, on le sait mieux aujourd’hui, des opérations où a été mis en œuvre « l’ingénierie sociale », que Fukuyama préconisait lorsque « la fin de l’histoire » ne s’est pas présentée au rendez vous.

L’objectif dans le monde arabe est d’empêcher qu’après l’Egypte et la Tunisie -et au moment où les peuples du Yémen et du Bahrein se mettaient en mouvement- ne se répande l’hégémonie des peuples dans l’espace public.

C’était et cela reste le danger principal pour la domination mondiale de l’Empire et de ses castes locales, car il pourrait radicalement régénérer les pratiques politiques de souveraineté dans les Nations.

L’ingénierie sociale est une science du contrôle et de la subversion préventive des sociétés dont les prémices ont été rationalisées par les scientifiques de la Rank corporation alors que l’Empire déménageait du Vietnam, et appliqués avec succès au Chili au début des années 70 avec la liquidation du gouvernement de gauche de Salvatore Allende. On avait combiné de manière étroitement coordonnée pénuries, campagnes médiatiques de calomnie, grèves des transports, manipulation de groupes gauchistes, divisions et corruption au sein de l’armée, etc.

Un savoir a été depuis accumulé avec la mise en œuvre de la stratégie de la tension dans l’Italie des années de plomb qui a porté très haut l’art de l’infiltration, de l’utilisation des repentis… et a servi plus tard à la systématisation de l’utilisation de l’ennemi terroriste.

Il faudra faire l’inventaire de ce savoir accumulé par les services chargés de protéger la domination, dont le travail est depuis une cinquantaine d’années organiquement lié à la conduite du système médiatique mondial. Les gouvernements changent mais ce savoir est constamment enrichi, chaque nouvelle recette est expérimentée. « Pour tout service de renseignement sur ce point en accord avec la théorie clausewitzienne, un savoir doit devenir un pouvoir ».

Il est possible que dans ce domaine, l’année 2011, malgré les apparences, marquera un tournant. Elle a en effet mis en relief l’incapacité de la domination de prévoir, et donc l’insuffisance de son savoir. C’est la donnée majeure révélée par les Révolutions tunisienne et égyptienne qui n’ont d’ailleurs pas épuisé leur capacité à surprendre. Les Américains n’ont rien prémédité dans ces deux pays comme ils veulent le faire croire par des indiscrétions calculées.

D’autres levées de masse en cours dans les pays arabes, en Afrique et de par le monde permettent d’espérer le retour des vastes mouvements populaires, qui, seuls, paralyseront les artisans des complots scientifiques, déjà sévèrement désarçonnés en 2011.

On pressent même à travers certaines caractéristiques de ces mouvements, y compris de certains comportements électoraux trop vite qualifiés de conservateurs, la poursuite de la mise en œuvre d’un savoir plébéien inaccessible à la manipulation, au service d’une volonté de faire table rase de la domination des castes prédatrices au service de l’Empire.

Saoudi Abdelaziz, le 29 décembre 2011
algerieinfos-saoudi, Les Impressions du jeudi


ما يخلاص ربيع ني خلص نوار

وقبل الصيف ربيع هز حراره فيه

وما يفضح الليل غي تبسام انهار

وما يطلع نهار من غير اماليه

عبد الحميد شبّيح

Nul printemps ne finit sans épuiser ses fleurs
Mais, là, avant l’été, éclata la chaleur.
La nuit ne peut être dévoilée que par le sourire du jour,
Et nul jour ne se lève sans les hommes qu’il faut.

( Abdelhamid Chebbih)

Le poète a toujours raison, qui, là-bas, sur ces hautes plaines, entres monts et palmeraies, sait qu’un printemps ne finit jamais avant que ne s’épanouissent ses fleurs.

L’année qui se termine a commencé par un printemps précoce. Même si l’attente qu’il a fait naître se prolonge, tant bien que mal, les craintes sont là de voir dilapidée tant d’espérance. Mais le pire n’est jamais sûr, et là aussi le poète a encore raison :

"Là où croît le péril, croît aussi ce qui sauve".

D’autres printemps refleuriront, nourris par la sève qui coule dans les coeurs et les corps de tous les indignés, de toutes ces femmes et de tous ces hommes qui relèvent la tête et veulent vivre debout.
Alors, de tous ces matins du monde, jailliront des lueurs qui seront la semence pour les temps à venir.

Il faut oser l’optimisme et l’espoir, car, et comment terminer ce petit florilège poétique sans citer le grand disparu, grand parmi les grands, Mahmoud Darwich :

على هذه الأرض ما يستحق الحياة

"Il y a sur cette terre ce qui mérite vie"

et vous offrir ce petit cadeau pour commencer l’année en musique et en poésie

Le Trio Joubran Mahmoud Darwish على هذه الأرض

{{{http://www.youtube.com/watch?v=xJU81Y2Y7pU}}}

Bonne et heureuse année à vous

Merci à notre ami Hamdi Cherif pour son envoi


CES FRUITS QUE BOUAZIZI N’A PAS PU VENDRE
IL NOUS EN A FAIT DON.

{ {{{Janvier 2011 - Tunis - Kasbah 1 - Kasbah 2}}} }


Bertolt Brecht :

Celui qui reste chez soi quand la lutte est engagée
Et laisse les autres se battre pour sa propre cause
Celui là doit faire attention :
Car qui ne partage pas la lutte
Partagera la défaite

Bertolt Brecht


SAUVER LES PEUPLES D’EUROPE !

{ {{{Analyse et appel de Mikis Theodorakis, Manolis Glezos et Collectif de Grèce}}} }


THE TIME HAS COME !

Message du Mouvement Occupy Wall Street à l’Humanité

vidéo

{{{ {Pour accéder à la vidéo _ cliquer sur le lien http://www.youtube.com/watch?v=ffR5BMI_V_0&feature=player_embedded


DE L’ATLANTIQUE AU GOLFE :
LE SOL SE DÉROBE SOUS LES BOTTES DES TYRANS
Configuration et exigences d’une nouvelle étape

reprise du texte de Sadek Hadjerès

écrit le 30 janvier 2011

mis en ligne sur socialgerie, le 30 janvier 2011 article 353

Le Quotidien d’Oran du 31 janvier 2011

En Algérie comme dans toute la région, l’Histoire n’a pas fini de nous dérouler ses ruses et surtout la logique profonde de sa « longue durée ». Une logique qui, après des longues années de stagnation apparente, s’exprime aujourd’hui dans les fondements et les prolongements géopolitiques et géostratégiques des soulèvements populaires qui ont touché par vagues rapprochées plusieurs pays : Algérie, Tunisie, Egypte, Yémen, Jordanie.
La liste n’est pas close, elle tend à se renouveler chaque jour. Avec du retard ou de l’avance, ainsi que dans des formes spécifiques à l’Histoire et aux particularités de chaque pays, toujours les comportements conscients ou inconscients des acteurs sociaux et politiques reflètent plus ou moins fidèlement les mêmes tendances lourdes au long cours.

Les évènements d’envergure qui secouent cette vaste région habitée par d’ardentes aspirations à la liberté, à la paix et au bien-être, sont suivis avec passion et émulation dans l’espace géographique et géopolitique qui s’étend, « min al Atlassi ila-l-Khalidj », de l’Atlantique au « Golfe » (arabo-persique) tel que l’appellent souvent les media arabes.
C’est le même espace que la stratégie de Bush, au beau milieu de la guerre d’Irak, d’Afghanistan et de l’enfer palestinien, vouait au projet américain du « GMO » (Grand Moyen Orient), tandis que Sarkozy l’intégrait dans le projet de l’UPM (Union Pour la Méditerranée) non moins resté dans ses limbes, cependant que des plans occultes imaginent des rallonges à cet espace en manigançant notamment la déstabilisation des pays riverains du Sahel Africain.

Face aux séismes en chaîne sur les rive sud et orientale de la Méditerranée, les milieux occidentaux, longtemps sourds et incompréhensifs aux signaux les plus clairs, s’inquiètent et se perdent en conjectures, s’étonnant qu’il soit sorti quelque chose de ce monde arabe figé dans la « passivité et le fatalisme ».
Plus perspicaces ont été des analystes internationaux , tels ceux du site LEAP/2020 qui, interprétant avec sérieux les données objectives de la crise économique et financière mondiale, ont cru pouvoir estimer dans leur dernière livraison du trimestre dernier que la crise loin de s’atténuer, ne tarderait pas, dès le printemps 2011 à connaître des développements d’envergure pouvant aller jusqu’à des « dislocations géopolitiques ».

UN VRAI TOURNANT,

que n’ont pas vu venir ceux qui tiraient à court terme des profits faramineux des statu quo anti-populaires et anti-nationaux.
Les peuples qui en faisaient les frais dans la détresse, les révoltes, l’angoisse et la colère, aspiraient quant à eux à ce tournant depuis des décennies, en tâtonnant et sans trop savoir comment y parvenir. Les courants réellement démocratiques dans les diverses mouvances idéologiques ou identitaires, les militants socialistes notamment, ne lésinant pas sur les sacrifices moraux et matériels, continuaient sous les commentaires compassés et condescendants des « réalistes », à appeler à des luttes unies, longues et persévérantes, « semant dans le désert », comme le rappelait avec humour et conviction l’opposant tunisien en exil Moncef Marzouki, se rappelant la séculaire expérience des paysans du sud saharien. (site « socialgerie », article n° 345)

Frappés par la simultanéité et l’extension des soulèvements de grande ampleur, des commentateurs ont parlé « d’effet dominos », de « contagion ». Ils invoquent les déclics et les incidents déclenchants, le rôle effectif et « en temps réel » des grands moyens de communication (internet et télévision) etc. Cela comporte une part de vrai sans pour autant être l’essentiel.

En vérité, au-delà des facteurs conjoncturels et des spécificités nationales, cette lame de fond a pris l’envergure, la puissance et l’ubiquité territoriale qu’on lui connaît dans le monde arabe, avant tout parce que dans cet espace, elle était devenue la seule réponse admissible par les peuples aux causes globales qui ont généré et entretenu une impasse majeure depuis des décennies : la politique cohérente, massive, de rapine et d’agression pratiquée par les cercles ultralibéraux militaro-financiers d’Outre-Atlantique et d’Europe, une démarche aux effets sociaux et politiques de plus en plus insoutenables.
Elle s’est exacerbée avec la cataclysmique crise financière des deux dernières années et les situations sécuritaires « au bord du gouffre » créées par les menaces et les actes des cercles agressifs américano-sionistes.

COMMENT LES PEUPLES,
SPONTANÉMENT OU AVEC LEURS ORGANISATIONS POLITIQUES,
LEURS INSTANCES ÉTATIQUES,
ONT-ILS DÉJÀ ET VONT-ILS ENCORE RÉAGIR ?

Pour qui connaît les évolutions depuis un demi-siècle environ, il semble bien qu’ils ont tiré de nombreux enseignements des expériences passées.
L’avenir sera forgé selon la façon dont les jeunes générations qui affrontent l’actualité avec leur dynamisme et leurs capacités propres, pourront intérioriser l’expérience acquise par leurs aînés, telle que accumulée et exprimée dans les débats intenses nationaux, régionaux et mondiaux largement diffusés par les moyens de communication planétaires. Dans le cas tunisien, cette rencontre a été particulièrement convaincante, dans le feu de l’action et de l’unité d’action, entre les anciennes et jeunes générations combattantes de la démocratie et de la justice sociale.

Il me semble que l’élément central, déjà intériorisé ou en voie de l’être à plusieurs niveaux des sociétés et des champs politiques, est la prévalence du SOCIAL comme finalité et moyen du développement, Les commentaires tendant à opposer ou isoler l’un de l’autre le social et le politique ne sont pas à la hauteur des réalités. La vie confirme au contraire chaque jour leur imbrication et leur mutuel renforcement.

En même temps est mieux apparu, mais reste à percevoir encore mieux, le rôle antisocial et antidémocratique joué par les multinationales et les organismes internationaux à leur service (FMI, Banque Mondiale, OMC) avec l’appui de leurs bras politique et armé dont l’OTAN et ses multiples relais, qui sont dans chaque pays du monde arabe le rempart des régimes et pratiques anti-démocratiques les plus régressives.
Comme l’ont souligné plusieurs commentateurs, Benali est parti, mais ses maîtres, les dictateurs en chef, vont-ils continuer à tenir enchaînée la Tunisie par de nouveaux relais ?

La prise de conscience de cette jonction (et même souvent la complicité organique) de l’exploitation socio-économique avec l’oppression des libertés et des droits de l’Homme me paraît le pas indispensable et l’évolution la plus prometteuse pour le recul des mystifications idéologiques et identitaires grâce auxquelles les régimes oppresseurs ont pu survivre aux échelles régionale et mondiale.
Ils ont souvent réussi à le faire en divisant les opinions nationales et populaires selon leurs sensibilités confessionnelles et culturelles, pour les empêcher d’envisager leur avenir selon l’évaluation objective des intérêts respectifs qui devraient les unir contre les dangers et les risques communs.

C’est le moment de ne pas oublier à quel point le monde, jusqu’à ses derniers recoins, est à ce jour encore dirigé d’une façon implacable, non par les seules instances étatiques visibles et leurs représentants attitrés qui alternent au devant de la scène internationale, mais par une coalition formelle, occulte et restreinte qui, au plus haut niveau, élabore les stratégies et en contrôle l’application diversifiée.

« Cette organisation qu’on a appelée “Triade” puis “Trilatérale” puis “club de Bilderberg”, (est) infiniment plus puissante et plus efficace que le Forum de Davos, que le G6, puis G20, qui n’en sont que des applications et des mécanismes de “normalisation” de l’idée de gouvernance mondiale.

Le “club de Bilderberg” peut convoquer à ses réunions de puissants ministres de la défense ou de l’économie, et décider quelles sont les grandes orientations à imprimer à la politique pour soumettre le monde aux intérêts de cette élite. Rockefeller en est le principal inspirateur. »(cf M. Bouhamidi dans la Tribune du 6 janvier 2011).

Ce même David Rockfeller, après avoir exprimé sa reconnaissance aux grands media et publications américaines pour avoir rempli leurs promesses de coopération « discrète » au club de Bilderberg, soulignait en 1991 à Baden-Baden : « La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l’autodétermination nationale pratiquée dans les siècles passés. » (ibidem)

Comment s’étonner alors que, face à cette coalition de l’ombre pour la déstabilisation et le dépeçage des nations par les armes et les divisions identitaires, face à l’oppression des peuples, au pillage de leurs ressources, à l’exploitation à outrance de leur force de travail et de leurs détresses sociales, les peuples de notre région aient relancé leurs efforts pour joindre toutes leurs ressources, leurs moyens d’action et leur courage afin de mettre à la porte les valets et les pratiques des comploteurs impérialistes ?

C’est le premier pas, dans des situations et par des voies nouvelles, avec des moyens nouveaux, vers la réalisation démocratique, pacifique et dans l’unité d’action, des objectifs fondamentaux assignés il y a cinquante ans à la guerre de libération nationale. Face au désarroi dangereux des oppresseurs et affameurs mondiaux et de leurs relais locaux, il appartient aux peuples et à leurs organisations de donner à leurs légitimes « intifadhat » un élan ascendant de résistance nationale et de solidarité internationale et un contenu démocratique et social de plus en plus conscient.

Sadek HADJERES
29 janvier 2011

www.socialgerie.net

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